jeudi 20 août 2009

The Durch army at Nieuport, 1600



Dutch army of Maurice of Nassau at Nieuport, 1600, from the "Description et représentation de toutes les victoires de son excellence le prince Maurice de Nassau, Leyden 1612".

L'armée hollandaise à la bataille de Nieuport 1600 selon "Description et représentation de toutes les victoires de son excellence le prince Maurice de Nassau, Leyden 1612".

L’avant-garde de son excellence.
Le comte Lois de Nassau, frère du comte Ernest, avait la charge de l’avant-garde de la cavalerie, comme étant leur lieutenant général, et avait près de soi la compagnie de cavalerie, celle du prince Maurice de Nassau qui étaient cuirassiers, commandés par le sieur Walraven de Gend, fils du sieur Oyen, celle du comte Henri Frédéric, frère du prince Maurice, conduite par le capitaine Bernard, toutes en une troupe. La 2e troupe était commandée par le sieur Marcelis Bacx, avec sa cornette, celle de Paul Bacx, sous la conduite du lieutenant Hans Sixé, et celle du capitaine la Sale ; derrière ceux-ci étaient les carabins de Couteler, Pierre Panny et Batenborch.
Près de cette avant-garde étaient à pied la compagnie des gardes du prince Maurice, commandée par le capitaine Van der Aa, et celle du comte de Hohenlo, conduite par le lieutenant Stridthorst, avec le régiment des anglais, qui étaient 13 compagnies, sous la conduite du général et chevalier François Veer, à savoir, sa compagnie, celle du capitaine Iapley son sergent major, celle de Denis, de Daniel Veer, de Hontwor, de Haumunt, d’Ogley, de Tyrrel, de Farfax, du chevalier Calistenes Brock, de Foster, de Garner, et de Holcrest.
Près de ceux-ci était encore le régiment du chevalier Horatius Veer, à savoir sa compagnie, avec celle de Sutten, du chevalier Thomas Knolles, commandée par Pietfielt, de Pirthon, de Cicil, de Morgan, de Meetkercke, de Schot, de Vavisour, de Cains Hartwirschon et de Deubey, faisant ensemble 11 enseignes. près d’eux étaient les frisons commandés par le lieutenant général Taco Hottinga avec sa compagnie, celle du baron de Sidenische, conduite par son lieutenant, celle de Gaspar d’Eussem par son lieutenant, de Michel Hage, de Frédéric Grovesteyn, de Hans van Oschem, de Hans de Vries, de Hans Zageman, de Quirin de Blaw, de Edgardt Grovesteyn, de Jean Kief, d’Egbert Hoving, de Holstein, d’Assuerus, de Gerrit Schay le jeune, d’Arusma, et de Rupperda, faisant ensemble 17 compagnies ; ces 41 enseignes faisaient l’avant-garde à pied, et sur eux tous commandait le général François Ver.

La bataille de son excellence.
Le comte George Everard de Solms conduisait la bataille, avec sa compagnie de cavalerie, celle du comte Frédéric de Solms, celle de Joos Wierich Clour, et de Jean Bacx ; en une autre troupe il y avait la cornette de Godard de Balen, celle du chevalier Veer, conduite par son lieutenant, et celle du seigneur Cicil, faisant ensemble sept cornettes.
Les gens de pied au milieu de la cavalerie étaient le régiment du comte Henri Frédéric de Nassau, commandée par le sieur Daniel de Hertain, seigneur de Marquette, son lieutenant colonel, et en ce régiment il y avait sa compagnie, celle de Jean de Bont, d’Antoine de Saucy, de François Marly, de François Maréchal, de Philippe de la Lou, de Jean Nemmery, de Jonas Durant, et de Gabriel de Nouvelles, faisant ensemble 9 compagnies, auquel était adjoint le régiment des suisses auquel il y avait 4 enseignes, à savoir : celle de Hans kriegh de Ballichom, de Hans Sas d’Underwald, de Hans Meyer de Zurich, et de Guillaume de Puis.
Et encore deux bataillons de français commandés par le sieur de Dommerville, comme lieutenant du colonel sieur de la Noue, sa compagnie, celle de la Rocques par son lieutenant, celle du Sault, commandant le second bataillon, celle de la Simendrie, de Mareschot, de Hamelet, de Brusse, de Corimeres, conduite par son lieutenant, lui étant tiré devant le fort d’Albertus, celle du fort de Formentière, de Vernevil, et du pont Aubert, faisant ensemble 12 compagnies. Au milieu desquelles était le prince Maurice, pour mettre ordre partout, accompagné de son frère le comte Henri Frédéric de Nassau, et de quelques seigneurs, comme de Jean Adolph duc de Holstein, Jean Ernest prince d’Anhalt, trois comte de Solms, à savoir le comte Frédéric, le comte Albrecht Ot, et le comte Henri Guillaume de Solms, le comte de Coligny, sieur de Châtillon, neveu de ce renommé amiral de France, le milord ou baron de gray, le sieur de Divry, le sieur Justinus de Nassau, et plusieurs autres gentilshommes anglais, français et allemands, qui accompagnaient le prince Maurice sans aucun commandement, la bataille étant forte de 25 enseignes de gens de pied et de 7 cornettes de chevaux.

L’arrière-garde de son excellence.
L’arrière-garde était conduite par messire Olivier Van der Tempel, sieur de Corbeke, en laquelle il y avait trois cornettes de cavalerie, commandées par Wernhard du Bois, à savoir la sienne, celle de Hamelthon, et celle de George Couteler, lequel Couteler en la bataille fut aussi mis devant.
Il y avait pareillement 3 bataillons d’infanterie, le régiment du comte Ernest de Nassau, où il y avait sa compagnie, conduite par son lieutenant, la compagnie de Huseman lieutenant colonel, celle de Massau, d’Imbise de Cotwis, de Balthasar, d’Eussum, de Pithan, la vieille compagnie du comte Ernest par un lieutenant, celle de Crimvits, d’André Breede, de Lucas Nenser, et de George Weckerle, en tout 13 enseignes.
Le régiment du sieur de Gistelles, sa compagnie colonelle, celle de Georges Everard comte de Solms, par son lieutenant, d’Aeneas de Treslon, de Trebourg, de L’Amovillerie, de Langevelt, de Ruysse, et de Floris de Wingaerden.
Au troisième bataillon était le régiment du colonel Huchtenbrouck, avec sa compagnie colonelle, conduite par Marlin, celle du sieur de Tempel, conduite par Belin son lieutenant, celle dudit Marlin, de Diric de Jonghe, de Ruyssenbourg, de Jean de Loon, et de Calvart ; ces 26 enseignes faisaient l’arrière-garde, avec 3 cornettes de chevaux.














(The dutch army at Nieuport)

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